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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 16:32

Dakar, 14 août (APS) – Entre 3000 et 4000 personnes, selon les organisateurs, 900 d’après la police, ont participé samedi en fin de matinée à la marche de la coalition Bennoo Siggil Senegaal contre notamment les ‘’délestages intempestifs’’ d’électricité, les inondations et le ‘’processus de dévolution monarchique du pouvoir’’.

 

Partis de la Place de l’Obélisque, les manifestants ont longé le boulevard du Centenaire, l’avenue El Hadji Malick Sy, pour aboutir au rond-point de la Poste de Médina en observant un arrêt de quelques minutes devant la Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS).

Ils ont déployé banderoles et pancartes sur lesquelles ils déclarent ‘’agir ensemble pour la vérité et la justice sur le cas Abdoulaye Wade Yinghou torturé à mort au commissariat de Yeumbeul’’, disent ‘’non à une gestion politicienne des inondations’’, critiquent ‘’Global Voice la nébuleuse du siècle’’, dénoncent ‘’l’incapacité du pouvoir à trouver les réponses aux préoccupations des populations’’…

De nombreux leaders de partis membres de la Coalition Bennoo Siggil Senegaal et d’organisations de la société civile ont participé à la marche : Abdoulaye Bathily (Ligue démocratique), Ousmane Tanor Dieng (Parti socialiste), Moustapha Niasse (Alliance des forces de progrès), Landing Savané (And Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme), Alioune Tine (Rencontre africaine pour el défense des droits de l’Homme)…

Dans une déclaration finale lue par Cheikh Sarr, la coalition Bennoo Siggil Senegaal a soutenu que cette marche est le point de départ d’un ‘’vaste mouvement de résistance pour le salut national contre les forfaitures du pouvoir’’.

‘’Nous appelons à la mobilisation des forces vives de notre Nation, pour mettre fin au règne d’un pouvoir qui, au stade suprême de son agonie, devient de plus en plus féroce’’, indique la déclaration dont copie a été remise aux journalistes.

 

 

Auteur:
APS   

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 16:08
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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 15:29

 

Rien ne va plus entre Samuel Sarr et Karim Wade. C'est le journal Le Quotidien, qui donne la nouvelle. "Il faut dire que l’animosité contre Samuel Sarr a atteint des recoins que lui-même n’imaginait pas. Des proches du Président Wade déclarent que lors de leur séjour en France, à l’occasion des cérémonies du 14 juillet, où le Président Wade avait été convié, le Président avait convié Samuel Sarr et certains de ses proches, parmi lesquels Habib Sy, Aminata Niane et Karim Wade, à l’ambassade du Sénégal à Paris. Il a déclaré de manière solennelle à M. Sarr. «Tous ces gens ici présents m’ont demandé de me débarrasser de toi, je n’ai pas accepté.», écrit le journal.

"Cette affaire avait fortement ulcéré Samuel Sarr, qui s’était senti trahi par des gens qu’il croyait ses proches. Et de tous, c’est surtout «la trahison» de Karim Wade qui l’avait le plus affecté. D’autant plus que ce dernier ne s’en était pas arrêté là. Il a poursuivi le Président jusqu’à Chicago, lors de son déplacement aux Etats-Unis, pour lui tenir un discours qui revenait à dire que, les Sénégalais ayant vomi Samuel Sarr, la meilleure chose que le Président avait à faire, était de limoger ce dernier. Allant jusqu’à poser à son père un ultimatum du genre. «Si Samuel Sarr ne part pas, c’est moi qui partirai!» Ce à quoi le Président rétorquera que Karim était libre de partir, mais que lui tenait encore à Samuel.
Devant toutes ces attaques sournoises, Samuel Sarr a fini par, comme l’on dit vulgairement, «péter les plombs», par téléphone.", dit le journal.

"Habib Sy, qui s’est fait la réputation d’homme-lige de Karim Wade, l’a appelé jeudi, sans doute pour des nécessités de service. Sans lui laisser le temps de développer, le ministre de l’Energie lui a craché toute sa bile au téléphone. Fortement éprouvé, ce dernier a raccroché, pour laisser la place à la Secrétaire générale de la Présidence, Mme Aminata Tall. Cette dernière n’a pas connu un meilleur sort, essuyant aussi des invectives de la part de Samuel Sarr. De guerre lasse, les deux compères s’en sont référé au chef de l’Etat, qui a demandé à Samuel Sarr de déférer à une convocation au Palais. Ce que ce dernier, refusait de faire, jusque bien tard dans la soirée d’hier", écrit le journal

 
Auteur:
politicosn.com    

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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 21:24

 

Devenu libéral ,depuis maintenant plusieurs années , après avoir fait les beaux jours de l’Alliance des forces de progrès , Me Abdoulaye Babou a avoué , sur les ondes de la radio Disso.fm , se sentir en étranger dans le Pds . Tellement , dit –t-il , les couleurs et les tendances sont apparentes et parfois divergentes  , faisant allusion à la Génération du Concret  , au Pds-L  , au Pds et à ce qu’il est convenu d’appeler  le feuilleton Wade-Idi . L’avocat de reconnaitre que les militants sont entre le marteau du Wade et l’enclume de Karim , en plus des réactions tous azimuts du maire de Thiès , qui tarde à déterminer , de manière claire sa position . Cette situation , selon lui , n’est pas de nature à profiter au parti , à quelques encablures , seulement , de la prochaine échéance présidentielle . L’ex-progressiste de s’inquiéter , surtout avec le départ de Cheikh Tidiane Gadio . Pour lui , c’est une perte énorme pour les libéraux . C’est aussi une perte de temps  , a l’en croire , tout ces années que Wade et Idi sont restés sans fixer leurs relations . Il les invitera à mettre un terme à ce feuilleton , encore qu’il est temps .Le parlementaire était à Touba pour les besoins de la session extraordinaire du conseil rural convoqué , sur ordre du Khalife des Mourides , par Serigne Sidi Abdou Lahad . Session au terme de laquelle  Serigne Mourtalla Mbacké a été éjecté de son fauteuil de président de la communauté rurale .

 

 
Auteur:
Amadou Moustapha Mbaye    

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 13:19
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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 13:51

« Sortir par la grande porte », c’est ce le conseil qu’a donné le chef de fil du Mouvement citoyen Luy Jot Jotna, Cheikh Tidiane Gadio hier à sa sortie de la première rencontre de coordination avec ses militants. Gadio a exhorté le président de la République à ne pas se présenter aux élections de 2012. Ce qui à ses yeux, lui permettra « de sortir par la grande porte comme Nelson Mandela ».

« Luy Jot Jotna », il est urgent d’agir. C’est sous ce cri de guerre que s’est tenue hier, la première rencontre de coordination entre les militants du Mouvement citoyen « Luy Jot Jotna » et leur président Cheikh Tidiane Gadio. Ce dernier les a appelés à un « nettoiement des écuries d’augias ».

Cheikh Tidiane Gadio a aussi lancé un appel au Chef d’Etat pour qu’il « renonce à prendre part aux élections Présidentielles de 2012 et à son Projet de dévolution dynastique du pouvoir ». Une chose qui selon lui, lui permettra de sortir par « la grande porte comme ses deux prédécesseurs les Présidents Senghor et Diouf ». De l’avis de Gadio, « c’est une grandeur d’organiser des élections démocratiques libres et transparentes ».

Revenant sur le Projet de dévolution dynastique du pouvoir, le Chef de file du Mouvement « Luy Jot Jotna », soutient qu’un « tel projet ne correspond ni à la culture politique du pays, ni à son histoire politique ». Dès lors, Cheikh Tidiane Gadio estime que ce projet « est une humiliation pour notre pays ». Le leader du mouvement Luy Jot Jotna a aussi déploré « l’affaissement des institutions dans notre pays ». Une chose qui selon lui, « dénigre la position du Sénégal sur le Plan démocratique ». Or notre pays fut jadis un exemple.

« Le Sénégal n’est malheureusement cité comme exemple sur beaucoup de questions, pour la raison évidente que nous avons une situation grave », se désole M. Gadio. Cet affaissement des institutions, Gadio le met sur le compte de la dévolution monarchique qui en est la cause unique.

Outre ces préoccupations, le Président du Mouvement « Luy Jot Jotna » a lancé un appel en faveur d’une réconciliation nationale, notamment en Casamance, qui pour lui, « est une priorité ». Enfonçant le clou, Gadio affirme que « c’est une honte nationale que d’avoir une situation de guerre dans cette partie du Sénégal depuis 28 ans et de ne pas en faire une priorité. Tous les Sénégalais devraient tout arrêter pour qu’on règle d’abord le problème de la Casamance ». Toujours dans son appel à la réconciliation, l’ex Ministre des Affaires Etrangères exhorte à la réconciliation de la classe politique autour d’une constitution qui sera respectée par tous. Ce qu’il appelle « un patriotisme institutionnel ».

Cheikh Tidiane Gadio se désole aussi du nombre pléthorique (165) de partis politiques au Sénégal. « Ce n’est pas sérieux, il faut un recentrage de la politique », clame- t-il. Au-delà, il appelle à « une reconnaissance des héros nationaux » qui à en croire Gadio, « ont beaucoup fait pour la nation Sénégalaise ». Intervenant sur la situation actuelle à la Sonatel, Gadio affirme Un problème qu’il situe surtout sur une absence de communication entre le gouvernement et la population Sénégalaise qui s’est réveillé un jour avec cette nouvelle de l’arrivée de Global Voice dans le Pays. Pour lui, le Président doit expliquer ce que Global Voice apportera aux Sénégalais ce qui aurait éviter le boycott constaté récemment de la communication au Sénégal. M. Gadio se dit aussi choque que le Gouvernement du Sénégal ne maîtrise toujours pas le problème des inondations, et de l’énergie qui devait être pour lui une préoccupation.

La mission du mouvement Luy Jot Jotna

Ce mouvement qui participe récemment au jeu politique sénégalais, est venu avec beaucoup de particularité. Leur motivation selon Cheikh Tidiane Gadio s’explique par le fait le fait que les sénégalais ont été dessaisis de quelque chose qui leur est fondamental et qui est une décision sur la cours politique, sur le coût économique, sur les grandes orientations dans le pays. Pour Gadio « nous avons pensé qu’un mouvement politique comme le notre pouvait exiger le droit des citoyens sénégalais à être au cœur, au début et à la fin de l’action politique ». D’où selon lui leur démarcation politicienne de la politique sur la forme traditionnelle, par représentationnelle de la politique par les délégations. Et leur participation à la prise de conscience de la population sur le projet de dévolution Monarchique.

 

 

Auteur:
Elisabeth Diatta  

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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 21:13
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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 16:44
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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 17:13
awa.jpgRewmi.com Plus audacieuse qu'Awa Ndiaye tu meurs. Très proche de Karim Wade, la ministre ne rate jamais l'occasion de passer la brosse à reluire sur les chaussures du fils du Président. Lors du dernier séjour de Wade à Washington, la ministre d'Etat à la présidence de la République a donné la preuve qu'elle travaille plus pour Karim wade que pour la république du sénégal qu'elle est censée servir
"Nous allons élire Me Abdoulaye Wade qui après cette élection va passer le pouvoir à cet homme qui est là devant vous, Karim Meissa Wade"., a t-elle déclaré sur les ondes de la radio RFM. Awa Ndiaye a tenu ces propos à l'occasion d'une rencontre entre les libéraux de Washington et le président Wade accompagné de son fils. Cependant, s'empresse, de préciser le journaliste, cette déclaration de Awa Ndiaye ne plait pas à ses propres frères de parti. Parmi ceux-ci, le Docteur Ndiouga Fall Dieng, qui qualifie la déclaration de Awa Ndiaye de "catastrophique".

Amadou Lamine Mbaye


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6 août 2010 5 06 /08 /août /2010 15:01

 

Le ton n'a pas changé, la cible non plus. En visite hier à Mousdalifa, un quar­tier inondé de la banlieue, Talla Sylla s'est à nouveau appesanti sur ce qu'il appelle les limites objectives de Karim Wade en insistant qu'après le départ imminent de Wade, Karim Wade va vite oublier la banlieue. Et pour cause... 

L'accoutrement kaki qu'il a arboré hier cadre parfaitement avec le ton guerrier. Talla Sylla, pour narguer le directeur de cabinet de Karim Wade, était à nouveau dans la ban­lieue, précisément dans la commune d'ar­rondissement de Djida Thiaroye Kaw. Hier.il n'a pas dérogé à la règle. D'emblée, mépri­sant Bachir Diawara, Talla Sylla a soutenu que jamais il ne parlera de la vie privée de Wade, «parce qu'il ne le mérite pas». Mais cela ne l'empêche pas de donner son point de vue sur ce qui semble être la nouvelle des­tination de Karim : la banlieue.

Une desti­nation que Karim Wade va vite oublier. En effet, Talla estime que lorsque son père «partira en 2012, et que lui Karim Wade va se mettre à cirer les toilettes des chambres de Rebeuss, il va oublier la banlieue». Talla estime qu'au-delà des populations de la ban­lieue, c'est tout le Sénégal qui est méconnu par le fils de Wade. En effet, pour Talla «Karim a toujours pris Kébémer pour une région et Niary Tally pour un département». Fort de ce constat, Talla pense qu'il est du devoir et du droit de chaque Sénégalais de faire le bilan de l'alternance et de constater le gâchis perpétré «par le clan des Wade». «C'est une monumentale escroquerie qui a amené le clan Wade à dilapider le capital politique, le capital espoir et le capital confiance que les Sénégalais ont eu sur l'al­ternance».

Le leader de l'alliance Jëf jël avertit que la génératiop du salut qu'il va mettre en place, va s'opposer au projet de dévolution monar­chique prêté à Wade. Talla estime que «Wade et son clan sont allés trop loin dans l'ingratitude en posant chaque jour des actes tendant à confisquer la souveraineté du peu­ple sénégalais». Pour justifier ce constat, Talla Sylla a cité pêle-mêle le report des élec­tions, la prolongation du mandat des dépu­tés, les tripatouillages de la constitution et le quota de 75% alloué à Wade pour la mise en place en place du Sénat.


 

 

 

Auteur:
lobservateur 

 

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