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23 avril 2014 3 23 /04 /avril /2014 19:01

teranga-gregivaudan.PNGL'association TERANGA GREGIVAUDAN et son Président Marcel Coly dans la région Rhone-Alpes ont construit un Lycée Technique Agricole doté d'une infrastructure solaire, d'un parc informatique et mis en place du système biogaz. Ce projet de très haute facture est un exemple de développement de proximité que nous attendions des sénégalais de l'extéreur.

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30 janvier 2014 4 30 /01 /janvier /2014 16:18

chasseley.jpgLe tata de Chasselay, officiellement nécropole nationale de Chasselay, est une nécropole militaire située à Chasselay dans le Rhône, où sont enterrés 194 tirailleurs originaires de différents pays d'Afrique de l'Ouest, ainsi que deux légionnaires, tous massacrés par la division de SS allemande Totenkopf (« tête de mort ») en juin 1940. Cette nécropole a été construite selon le style d'architecture de l'Afrique de l'Ouest, où tata signifie « enceinte de terre sacrée » en wolof, dans laquelle on enterre les guerriers morts au combat.

Du 19 au 20 juin 1940, à Chasselay, les troupes coloniales sénégalaises de l'armée française, à 1 contre 100, retardent l'entrée des troupes allemandes dans Lyon, déclarée « ville ouverte » le 18 juin.

Non prévenue par l'armée, la défense s'organise, le 17 juin, à Chasselay, village situé à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Lyon. Des barricades sont dressées, grâce aux soldats du 405e RADCA de Sathonay, du 25e régiment de tirailleurs sénégalais, de légionnaires (2 d'entre eux reposent dans le tata) et aussi avec l'aide de civils.

N'ayant rencontré que très peu de résistance depuis Dijon, les Allemands arrivent le 19 juin, près du couvent de Montluzin à Lissieu. De durs et violents combats entre troupes allemandes et françaises se soldent par 51 morts dont une civile du côté français, et plus de 40 blessés pour les Allemands.

Le 20 juin, à l'issue d'une deuxième bataille, au château du Plantin, les prisonniers, au nombre d'environ 70, sont divisés en deux groupes, d'un côté les soldats français blancs et de l'autre les Sénégalais noirs.

Après avoir parcouru deux kilomètres à pied, les soldats français couchés dans l'herbe, le long d'un pré, assistent au massacre des soldats sénégalais par des mitrailleuses et pour certains écrasés par les chars d'assaut de la 3e

Panzerdivision SS Totenkopf[2]. Le capitaine Gouzy tente de s'interposer pour protéger ses hommes et reçoit une balle allemande dans le genou. Les Français blancs sont emprisonnés à Lyon. Les habitants de Chasselay, horrifiés par le massacre, enterrent les corps des Sénégalais dans un cimetière. Le tata est inauguré le 8 novembre 1942[3] en présence de son fondateur M. Jean Marchiani, secrétaire général de l'Office départemental des mutilés, combattants, victimes de la guerre et pupilles de la Nation.

Extrait de WIKIPEDIA

Tous les ans, se tient à Chasselay une cérémonie officielle, où sont présents des représentants sénégalais et français.

 

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 18:51
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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:32
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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 17:15

cheikhL’écriture elle-même, qui est la parure du journalisme m’a, durant la première année du quinquennat, semblé avoir cessé d’afficher ses limites, dès le premier coup d’œil. Insipide, sans allant, inapte à se jouer des difficultés elle a, d’une certaine manière, « renoncé » à sa mission première d’informer, de séduire et de convaincre. Il est donc pressant de remettre l’accent sur les compétences professionnelles et le courage des journalistes, impavides et déterminés dans l’évidence de leur condition, éclatants de talent, si l’on ne veut pas voir la presse encourir la défaveur des masses, qui la consultent souvent comme un oracle.

 

Avant de poursuivre ma réflexion, il y a lieu de rappeler à nos concitoyens les actes majeurs posés, vis-à-vis de la presse, par tous les Présidents qui se sont succédé à la tête de l’Etat depuis 1960, pour la consolidation de la démocratie au Sénégal : une vingtaine de quotidiens, 15 hebdomadaires, 18 mensuels, 5 chaînes de télévisions, près de 200 radios régionales et communautaires. Notre pays s’est doté d’un Code de la presse, le plus révolutionnaire et le plus avancé d’Afrique, qui dépénalise le délit de presse : de l’avis des professionnels de l’information et de la communication des Syndicats de journalistes. C’est un code consensuel élaboré, après six mois de concertation et, unanimement, voté à l’époque par les députés et les sénateurs.

En conséquence, c’est à la gloire des journalistes, ces conquérants modernes qui maîtrisent si bien toutes les données de la technologie régnante, ces relais qui doivent informer l’opinion publique de ce qui marche et de ce qui ne marche pas à la Une de leurs journaux, de porter le débat d’idées sur la place publique et de ne pas se contenter des valeurs inopérantes. Qu’elle soit publique ou privée, la presse se doit de jouer son rôle d’informatrice intelligente et non se contenter d’un sujet qu’elle distille, à satiété, sur la place publique, jusqu’à en faire une overdose : la traque obsédante des biens mal acquis.

Abondant dans le sens de la réflexion appropriée du Conseiller spécial et porte-parole du Président de la République, M. Abdou Abel Thiam, dans l’interview qu’il a accordée à un confrère du Sud Quotidien, relative à la mise sous boisseau de la presse aux réalisations accomplies par le nouveau régime : « A qui la faute ? On n’a qu’à faire un sondage des UNE de la presse nationale au cours de l’année qui vient de s’écouler, pour voir quels sont les thèmes qui vous intéressent le mieux. Vous préférez le feuilleton de la traque des biens mal acquis aux performances du gouvernement. Je suis journaliste comme vous. La presse préfère les trains qui n’arrivent pas à l’heure. C’est comme ça. Le train qui arrive à l’heure, c’est une bonne gestion de la campagne agricole, une bonne prise en main de la distribution de l’énergie, malgré les couacs constatés ces derniers jours. A mon humble avis, la presse ne parle pas, suffisamment, de cette avancée majeure qui a consisté à réduire les impôts sur le revenu et, de facto, accroître les salaires des travailleurs.

Certes, il est maintenant trop facile de clamer que le Gouvernement ne communique pas. Tous les gouvernants du monde, quelques soient leurs réalisations, entendront toujours ce refrain. Oui, tout se passe pour le meilleur des mondes, le seul problème, c’est la communication. C’est facile, c’est plus prudent et cela a l’avantage de titiller l’égo de l’interlocuteur, mais cela cache toujours des arrière-pensées. Le Soleil, la RTS, l’Aps, n’ont pas vocation à être des versions tropicales de la « Pravda », pour chanter à longueur de journées, les louanges du Gouvernement. Les réalisations sont là. Elles sont connues de tout le monde, mais elles sont voilées par l’approche du traitement de l’information par la presse, qui préfère parler de lutte, de traque de biens mal acquis, ou mettre des faits divers à le UNE, plutôt que de parler des réalisations concrètes du Gouvernement ».

C’est la gloire des journalistes pétris de leur métier, de monter la garde au sommet de nos Républiques et d’obliger, quand il le faut, le premier de cordée à redescendre dans la vallée. Ils ont embrassé le plus beau des métiers, celui d’informer le citoyen et de lui fournir des instruments précieux de jugement, de lui faire connaître et comprendre la complexité des problèmes posés à la société où il vit, de l’aider à réfléchir sur son destin, ce qui est, tout simplement, la plus belle manière de servir la démocratie.

Aimé Césaire, le « poète vivant » et chantre de la négritude, dont on célèbre aujourd’hui en Martinique le centenaire de sa naissance, affirmait avec force conviction : « Une vie d’homme, c’est le combat entre l’espoir et le désespoir, entre la lucidité et la ferveur ». Les colonnes de ces vaillants combattants pour la liberté d’expression, constituent déjà un contre-pouvoir crédible et respecté, que nous appelons de nos vœux et dont toute autorité, dans un pays en état de droit, un tant soit peu intelligente, a besoin pour vivre, sauf à courir le risque de se briser sur un écueil qu’elle n’a pas vu ou voulu voir. Car, au-delà de l’incantation rituelle, il y a un pays à reconstruire et à maintenir dans la dignité. Nous savons, indubitablement, que la presse n’est pas là pour arranger les choses, arrondir les angles, calmer le jeu. Elle tire même sa renommée du fait qu’on la trouve à la fois indispensable et convenablement insupportable.

Lorsque j’observe comme la presse sénégalaise, après cinquante-trois années d’existence, pêche par conformisme, je suis tenté de me ranger du côté de Balzac qui affirme que «si la liberté de la presse n’existait pas, il ne faudrait surtout pas l’inventer». Cette presse nationale pertinente depuis le tournant des années glorieuses, qui a toujours été à l’avant-garde de toutes les libertés, parce qu’exerçant la plus belle des professions, celui d’éclairer le citoyen en lui rétrocédant des outils inestimables de décision, se trouve être bougrement confrontée à des « prérogatives commerciales ».

On peut le comprendre, mais on peut bien aussi le déplorer !

 

Son Excellence Monsieur Cheikh Sadibou DIALLO

Conseiller Special du Président de l'APR

Administrateur de la DES France

 

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 09:35

le-maire-et-le-consul-general.jpg

Ce 26 juin 2013, le nom de Léopold Sédar Senghor a été officiellement donné à une rue, dans un nouveau quartier du 7eme arrondissement de Lyon ; cela fait partie d’un grand projet d’urbanisation du nom d’Adyssa. Ceci s’est déroulé en présence de Gérard Colomb, sénateur-maire de Lyon et président du Grand Lyon, de Gilles Buna adjoint au maire et vice-président du Grand Lyon, chargé de l’urbanisme appliqué et opérationnel et des projets urbains, et de Jean Pierre Flaconnèche, maire du 7ème arrondissement. Parmi les personnalités invitées à l'inauguration de ce nouvel ouvrage, figurait le Consul Général du Sénégal à Lyon, son Excellence M. Alioune Diop.

 

Un moment de vive émotion en cette heure solennelle où se sont retrouvés tant d'éminentes personnalités, et où le Sénégal a été honoré. Le consulat du Sénégal à travers son nouveau consul a été bel et bien associé à ce rendez-vous. « De la reconnaissance et de la réhabilitation» à cette cérémonie d'hommage au « Premier Chef d'Etat de la République du Sénégal, à l'homme de lettres, académicien et figure emblématique de la Francophonie, amoureux de la langue Française », comme l’a précisé le Sénateur-Maire du Grand Lyon Gérard Colomb au début de son discours.

Des paroles qui font vibrer ! Une reconnaissance de la France envers le Sénégal et toute l’Afrique, selon le consul général du Sénégal à Lyon, M. Alioune Diop. Des paroles qui ont été prononcées avec force pour célébrer les vertus du dialogue universel dont Senghor s'est fait l'écho et le chantre.

Cette allée Léopold Sédar Senghor est une première séquence dans un projet d’urbanisation très ambitieux qui vient d’être livré, un projet d’urbanisation qui offre aux habitants du quartier de Gerland un nouvel espace de proximité. L’allée Senghor exprime la convivialité d’un quartier moderne et de qualité tourné vers le bien être de ses habitant. Pas de hasard cette construction fait un clin d’œil, à coup sûr à un des grands thèmes inspirateurs de l'œuvre de Senghor, de « Chants d'ombres » à « Elégies majeures », celui de la communion de l'homme avec l'homme autant que de l'homme avec la nature. Car elle transverse ce nouveau quartier du nord au sud, par une voie circulée, mais apaisée, un véritable lieu de rencontre de détente et de jeux, elle propose également aux piétons de larges espaces plantés qui incitent à la flânerie et à la promenade. Les lyonnais ont honoré comme il se doit, celui dont l'exemple inspirait de l'admiration ainsi que sa vision du monde.

  • Au menu de cette inauguration, un arbre a été planté, où le Consul Général du Sénégal et ses hôtes ont pellé ensemble pour planter l’arbre, signe de fraternité entre les deux pays. Une première pierre a été posée pour un nouveau bâtiment qui doit voir le jour. Ensuite est venu le temps des discours qui a symbolisé un passé qui se mêle harmonieusement à l'histoire de cette allée. Senghor aurait été ému à l'idée que Lyon honorerait sa mémoire en donnant son nom à l'une de ses rues dans un si beau quartier qui exprime actions et vision des politiques, pour lui qui rêvait d’un Sénégal comme la France, un Dakar comme Paris. Quelle superbe image de la fraternité humaine, et aussi de la réconciliation entre les hommes de bonne volonté !
    Pour, le sénateur-maire de Lyon Gérard Colomb, le choix de Senghor répond à la volonté de la ville de Lyon de faire de cette ville ce dialogue des cultures et de la diversité auquel Senghor nous invitait à participer sans toutefois signifier le gommage des différences culturelles. Au contraire, il convient de maintenir des identités culturelles à l'intérieur de cette « Civilisation de l'Universel » qui sera, comme le dit Senghor lui-même, « l'œuvre commune de toutes les races, de toutes les civilisations différentes ou ne sera pas ».
    Les sénégalais présents à cette inauguration conserveront jalousement un souvenir précieux d'une si chaleureuse après-midi, qui a su créer dans ce beau quartier entièrement rénové de Lyon, une présence africaine et a permis à l'âme lyonnaise de pénétrer l'Afrique profonde et généreuse. La leçon mérite d'être sans cesse rappelée à l'heure où les fanatismes et les sectarismes qui sont parfois proches de nous, voire parmi nous, se plaisent aux amalgames.

  

Babacar Beuz Diedhiou

 

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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 10:37

cheikh.JPGAprès la visite officielle au Sénégal du Président des Etats-Unis d’Amérique,  M. Barack Obama, en compagnie de son épouse Michèle, de ses deux filles et sa belle-mère, avec une délégation comprenant 400 hommes d’affaires ESF/ASG, j’ai l’immense plaisir de saisir la circonstance agréable qui m’est offerte pour exprimer mes remerciements patriotiques à tous les Sénégalais, sans exclusive aucune qui ont, dans un élan de cohésion nationale, clamé l’enthousiasme et la joie de tout un peuple, pour accueillir le couple présidentiel, dans la sobriété et dans la chaleur de la pure tradition de notre peuple. Cette visite du premier Président des Etats-Unis noir américain au Sénégal, m’apparaît avoir eu un effet bénéfique au niveau de la classe politique. A mon humble avis, il m’a semblé qu’un acquiescement pacifique s’est, comme par enchantement instauré, le temps d’une rose, pour honorer dans l’union républicaine notre hôte de marque, Barack Obama Prix Nobel de la paix, pour ses efforts extraordinaires, en vue de renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples.

Après Roosevelt en 1945, Clinton en 1998 et Bush en 2003, le Sénégal a eu un hôte de marque, M. Barack Hussein Obama. Premier Président des Etats-Unis d’Amérique, qui a des origines africaines. C’est à la fois un honneur et une fierté pour notre pays. C’est surtout un évènement exceptionnel ! Le fait même qu’il ait amené au cours de sa visite au Sénégal sa famille, montre sa véritable marque d’estime pour le peuple sénégalais. Il l’a d’ailleurs exprimé lors de sa conférence de presse conjointe avec le Président Macky Sall au Palais de la République : « Nous avons foi au Sénégal et croyons à son peuple. Je suis très heureux de constater que le renforcement de notre coopération bilatérale est orienté vers les populations et surtout pour la jeunesse »

Portant en bandoulière », comme a bien voulu le souligner avec conviction, Mme Badiane, la Coordonnatrice des Femmes de l’APR, « notre téranga sénégalaise, reconnue de par le monde, cette valeur faite de délicatesse, de subtilités, d’attention particulière à l’endroit de son hôte, l’accueil du Président Barack Obama et sa famille, a été parfaitement chaleureuse, à l’image du Sénégal et de son hospitalité coutumière. D’un même élan, unis et rassemblés, les Sénégalais ont rendu l’hommage solennel que mérite le Chef d’Etat américain. C’est un honneur adoubé d’un réel plaisir des yeux d’avoir pu admirer, à travers de si belles images, Michèle Obama tenant par la main sa fille aînée ainsi que son glorieux mari, sourire aux lèvres, tenant aussi sa fille cadette par la main, descendant ensemble la passerelle de l’avion. Ce fut l’extase ! Des souvenirs historiques impérissables. Ce n’est pas tous les jours qu’on a le privilège de voir débarquer le plus puissant Chef d’Etat de la planète à l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor, accompagné de toute sa famille, pour nous rendre une si belle et mémorable visite.

Le choix du Chef de la Maison Blanche de visiter le Sénégal est une option motivée qui ne pouvait advenir sous l’ancien régime, malgré les multiples sollicitations directes et les efforts effrénés de lobbyistes gracieusement rémunérés. Cette alternative concrétisée sous le magistère du Président Mack Sall, est l’expression de valeurs partagées et de convergences de vue sur le management socio-économique de la société. Cette excellente visite, comme l’a fort souligné le Chef de la diplomatie sénégalaise, « doit être lue surtout comme un succès diplomatique du Président Macky Sall qui, en une année seulement, a su recoudre les fils coupés de notre tissu relationnel régional et international et réconcilier le Sénégal avec sa vocation et son rôle de grande puissance diplomatique »  

C’est pour cette raison fondamentale, comme nous le disait le Général de Gaulle : « les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts » que le Sénégal qui a fini de démontrer dans le concert des nations sa capacité à transcender les contradictions sociopolitiques et préserver la démocratie, se doit nécessairement de réclamer sa part de dividendes au Congrès Américain, au bénéfice du peuple sénégalais.     Les Etats-Unis, s’ils veulent rattraper la Chine qui a profité de leur longue absence en Afrique, pour avancer leurs pions à très grande vitesse, ont une carte à jouer : celle de la promotion de la démocratie. Le choix de visiter les trois pays africains,  n’est pas assez anodin, car il est fondé sur le degré des avancées démocratiques. Le discours fondateur d’Accra de Barack Obama n’est certes pas loin et cette tournée se veut le prolongement de la première visite ghanéenne lors de son premier voyage en Afrique en 2009, où il lança cette déclaration : « Le sang de l’Afrique coule dans mes veines, l’histoire de ma famille comprend à la fois les tragédies et les triomphes de l’histoire plus large de l’Afrique ». Fondons l’espoir de l’ouverture d’une nouvelle ère et qu’un retour en grâce est encore possible ».                                                                                                                

Pour clore ma réflexion, je ne remercierai jamais assez les Sénégalais et Sénégalaises, toutes obédiences confondues  qui, à l’unisson, se sont mobilisés pour accueillir chaleureusement, le Président Barack Obama ainsi que sa famille,  à l’image du Sénégal et de sa légendaire hospitalité et rendre très agréable la visite officielle de trois jours qu’il a effectuée dans notre beau pays. 

Le Président du pays de l’Oncle Sam, Barack Obama est venu en paix chez nous avec sa famille nous rendre visite, nous l’avons accueilli en paix, dans la pure tradition de la téranga sénégalaise… Hier vendredi à 10h44 mn, Barack et Michèle Obama, à la portière  Air force one, leurs mains en signe d’au revoir, sont repartis en paix  dans ce gros volume, considéré comme le moyen de transport le plus sûr au monde, aujourd’hui. Celui-ci a pris les airs, pour la suite de la tournée africaine. Destination l’Afrique du Sud : le pays de Nelson Mandela.

 

 

Son Excellence Monsieur Cheickh Sadibou DIALLO

Conseiller Spécial du Président de l’APR

Administrateur de la DES APR France

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 12:52

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1 janvier 2013 2 01 /01 /janvier /2013 12:45

J’ai toujours cru que le journaliste est un pilier voir un garant d’une démocratie saine et apaisée dans une république.

yakham-ThiamMbaye.jpgComme un messager, il a l’impérieux devoir d’informer juste et bien. Cette déontologie, force nourricière du journalisme, s’appuie fondamentalement sur une liberté d’expression constitutionnalisée par les pouvoirs publics dont l’ultime finalité reste et demeure, la cohabitation harmonieuse, féconde d’une pluralité d’expressions et d’opinions souvent conflictuelle et ambigüe.

En résumant ce noble métier, devenu pouvoir en une conjonction-addition de dénigrements successifs et erronés, nous assurons indubitablement à sa dégénérescence progressive et fatale.

La corporation journalistique se doit d’extirper en son sein cette partie tuméfiée et nauséabonde que constitue ce sous groupe de journalistes alimentaires et gorge profonde qui s’abreuvent à cette source maléfique de la corruption.

Quotidiennement, nous assistons pour être meurtris à ce défilé infernal, macabre et contre productif d’articles orduriers imbibés de haine à la limite de l’injure et de la diffamation qui au nom d’une prétendue liberté d’expressions nous torture les méninges.

Le journalisme perdrait son âme en se métamorphosant en une ruse qui dérive d’une caduque politique politicienne faite de mensonge, de coups bas, de coups de poignards dans le dos, de crocs en jambes combinés dans une galaxie de complots multiformes.   L’empilement de contre-vérités habillement maquillé par une phraséologie nébuleuse, discourtoise ne devrait prospérer dans un pays de droit.   Comme le disait si bien Vladimir Illich Oulianov dit LENINE : Il faut s’informer, se former pour pouvoir transformer une société.

Cherif (Bruxelles).

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 08:42
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  • : Très tôt les Sénégalais et le monde artistique découvrent chez le chanteur Youssour un grand besoin d’entreprendre pour réaliser des projets adaptés à son environnement pour participer à l’effort de développement de l’Afrique et de ses partenaires. Il crée successivement des entreprises qui génèrent beaucoup d’emplois dans son pays et en dehors.
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