Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 mars 2015 6 14 /03 /mars /2015 12:25

Nous disons toujours Non à la Dévolution Monarchique au Sénégal.

Voir les commentaires

Partager cet article
Repost0
14 mars 2015 6 14 /03 /mars /2015 11:53
Restons solidaire

Tout au long de l’année, les salariés porteurs de titres-restaurant peuvent en faire don à la Croix-Rouge française. Le montant des titres est alors valorisé en don financier, et reversé à notre association pour financer nos actions dans le domaine de l’aide alimentaire.

Partager cet article
Repost0
17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 11:15

~Le spécialiste en Communication, Mamadou Thiam, membre de la fondation «Servir le Sénégal», remplace Yakham Mbaye dans la gestion de la communication présidentielle. Selon «La Tribune», qui tient l’information «des membres de la délégation qui accompagne Macky Sall en Espagne», le chef de l’Etat a décidé de démettre Yakham Mbaye qui gérait jusqu’ici la communication de l’exécutif. Fonction qu’il cumulait avec son poste de Secrétaire d’Etat à la communication. Yakham Mbaye avait ainsi remplacé Souleymane Jules Diop, lui aussi nommé Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’extérieur. Mamadou Thiam, très critique envers le gouvernement, aux premières heures de l’accession de Macky Sall à la magistrature suprême avant de rejoindre la fondation «Servir le Sénégal», sera ainsi le 4e chargé de la communication du président Macky Sall après El Hadji Hamidou Kassé, Souleymane Jules Diop et Yakham Mb

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 21:12
null
Partager cet article
Repost0
14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 14:37
Excellence Cheikh Sadibou DIALLO
Excellence Cheikh Sadibou DIALLO

« Symbole de la pureté et de la paix, la blanche colombe ne peut être atteinte par la bave du crapaud .» Ce céleste proverbe inversé de 1840 s’emploie généralement par ironie, pour rejeter une diffamation ou une calomnie extravagante et infâme. Ce n’est ni plus ni moins qu’une arlequinade effroyable de ces jeunes marabouts à vouloir discréditer et porter atteinte à l’honneur d’une citoyenne humble devenue, par l’élection de son mari à la Magistrature suprême, la Première dame du Sénégal. S’appuyant sur le nom prestigieux de leurs aïeux, ils veulent faire croire, par leur suffisance et leur arrogance, au peuple que tous les Mbacké Mbacké sont contre le Président Macky Sall. Dieu soit loué, c’est tout le contraire ! Car d’honorables Mbacké-Mbacké ont aussitôt réagi dans la presse, en prenant la défense du Président de la République, de son épouse et de son régime. Selon ces derniers, regroupant des Mbacké-Mbacké, petits-fils du Vénéré Serigne Touba, les attaques et plaintes répétées de jeunes marabouts qui se réclament mourides contre le régime de Macky Sall et qui auraient déposé plainte auprès de la CREI, ne sont rien d’autre que du chantage. Sur un autre registre on a réussi à identifier les véritables raisons de leurs intriques et déchiffré leur acharnement contre la famille présidentielle. Ayant tous été entretenus par le défunt régime aux frais de la princesse (passeports diplomatiques, villas, 4/4, nourris et blanchis), le Chef de l’Etat ayant constaté cette dilapidation des fonds publics, a tout bonnement décidé d’y mettre fin. Attaquer la Première dame, à travers sa fondation, pour espérer atteindre son glorieux mari, le Premier de la République, n’honore guère ceux qui ont effectué cette indigne accusation mensongère. C’est à la fois de l’inimitié et de la méchanceté gratuite. Charges, vilipendes, récriminations de tous ordres, infondées, s’abattent de plus en plus sur le Chef de l’Etat, par l’entremise de son épouse à travers la Fondation « Servir le Sénégal » qu’elle a eu l’immense bonheur de créer, pour servir son peuple. Par l’exemplarité de ses actes concrets, utiles pour tous les démunis sénégalais, ce labeur qu’elle effectue avec humilité et clairvoyance, pour soutenir les efforts de son bien élu époux, dans sa quête permanente d’un mieux-être pour ses concitoyens. Morale de l’histoire ! Ces jeunes frustrés marabouts, ayant perdu leurs privilèges se sont regroupés pour s’attaquer à la famille du Chef de l’Etat. A cet effet, ils avaient, paraît-il, organisé des séances de récitals de coran contre le Président Macky Sall, sous la supervision du Parti démocratique sénégalais La Fondation « Servir le Sénégal », comme toute autre fondation dans le monde, ne survit qu’à travers des dons et la vente d’objets d’arts entre autres. C’est dire que l’attitude malveillante de ces jeunes hurluberlus, n’est que la dernière goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Mais j’ai la conviction profonde que la Première dame Marième Faye Sall, avec son cœur profondément musulman saura, à l’occasion de ce jour béni de la plus grande et belle fête religieuse de (l’Aïd El Kébir), leur pardonner cette irresponsabilité inconcevable qui dépasse l’entendement. «Que faire dans un pays où les méchants sont atroces et les bons extravagants»? Âpre question, dont le Cardinal de Richelieu s’est vu obligé de se poser, devant une si abracadabrante et semblable situation. En revenant à la réalité des faits, la question qu’il importe de se poser réellement est d’une importance capitale : « Comment tant d’hommes et de femmes politiques qui se disent vrais, dignes et respectables, ont assisté, sous l’ancien régime, inertes devant une telle captation des deniers publics qui a duré huit longues et pénibles années, pour les populations ? Comme l’étaye mon excellent compagnon, Ibrahima Mendy, responsable politique de l’Apr à Ziguinchor, « il y a eu plusieurs fondations pour chaque première dame du Sénégal. Mais la fondation qui a plus attiré les Sénégalais dans le cadre de malversations financières, c’est celle gérée par l’ancienne Première dame. Elle avait fait du Ministère de l’Agriculture sa vache laitière. Elle a bénéficié d’un financement de ce département sur une période d’au moins 8 ans, pour un bon prétexte : la promotion de l’agriculture biologique. Elle a bénéficié d’un montant de 5 milliards de francs Cfa du Ministère de l’Agriculture. Education/Santé procédait par des ponctions de 700 à 1 milliard de francs dans chaque échéance budgétaire, sous forme de subvention ». Les Ministres qui ont cautionné cette pratique avaient comme mobile la promotion de la culture biologique. Il s’agit des trois anciens ministres qui ont dirigé ce département ministériel Ce qui augure des lendemains sombres, pour tous ceux qui sont mêlés à cette grave affaire car une enquête de la Crei devrait voir le jour, dans les jours à venir. L’ancienne Première dame puisait dans le budget du Ministère de l’Agriculture, pour alimenter sa fondation. Cette capture illégitime des fonds publics s’est effectuée, au vu et au su de toute la galaxie libérale, sans réaction ou dénonciation publique. Dans chaque budget des montants de 700 à 1 milliard étaient versés à la Fondation de Mme Viviane Wade, sous forme de subvention, a déclaré une source proche des corps de contrôle de l’Etat. Et le plus cocasse est que ces subventions étaient couvertes par les différents programmes spéciaux que l’ancien Président lançait chaque année. Programme de maïs, programme de sésame, programme bissap, Goana… ont été des prétextes, pour pomper les maigres ressources de l’Etat. Seul, Me Ousmane Ngom a eu le courage de confirmer ce scandale. Lors de son point de presse, l’ex-Ministre de l’intérieur, suite à la plainte de Antenna, avait révélé que « la fondation de Mme Wade possédait une activité industrielle de fabrication de bio pesticides et bio fertilisants qu’elle a développée, pour permettre au monde rural de bénéficier de produits biologiques, plus avantageux à tous les niveaux que les produits chimiques. Et de citer les femmes de Ninefesha, comme bénéficiaires. Pour l’heure, avait-il énoncé, une enquête mérite d’être menée pour éclairer les Sénégalais, si les fonds collectés dans ce cadre ont été utilisés à bon escient ». Pour clore ma réflexion, j’interpelle humblement les Sénégalais et Sénégalaises à s’associer à l’hommage qui a été unanimement rendu à Madame Marième Faye Sall, Fondatrice et Présidente de la Fondation « Servir le Sénégal », par le Centre international des affaires stratégiques (CIAS), qui l’a élue « Femme de l’année 2013 » pour son action sociale, en faveur des personnes défavorisées, mais aussi pour son engagement, en tant que femme active, dynamique et d’une grande humilité. Mme Marième Faye Sall n’a pas attendu que son mari accède à la Magistrature suprême, pour confirmer cet historique et avéré adage de Gabriel-Marie Legouvé, poète français (1764-1812) qui a énormément fait ses preuves. « Derrière chaque grand homme, se cache une grande dame ». Eh oui pourquoi ne pas utiliser le mot « grande », après tout si l’homme est grand, c’est en partie grâce à elle. Donc, autant équilibrer les choses. N’avez-vous jamais remarqué que certains hommes n’atteignent la célébrité que, grâce à la bienveillance de la femme. Qu’elle soit la compagne, la mère, la sœur, la maîtresse ou simplement une amie, l’homme et la femme sont complémentaires. Ensemble, ils peuvent faire de grande chose. Saluer l’œuvre de cette mère, cette noble sœur, cette épouse exemplaire à tous points de vue, n’est que justice ! « Marième Faye est une fierté », selon notre célèbre voyante, Mme Selbé Ndong, «Qu’on laisse Marième Faye tranquille. On n’a jamais vu une Première dame soutenir les populations, comme elle le fait. Elle est rentrée dans les eaux des inondations, pour aider les populations. Nous devons, impérativement, la soutenir car la Fondation, c’est pour aider les Sénégalais ». Ses qualités et valeurs entre autres : générosité, modestie, engagement en faveur des populations défavorisées, reflètent bien l’image type de la femme africaine. A travers la Fondation « Servir le Sénégal », la Première dame n’a de cesse de se mettre auprès des populations les plus démunies, en leur apportant confort et réconfort. Les nombreuses réalisations de sa fondation, contribuent grandement à l’évolution qualitative de la politique sociale du Président de la République. Son Excellence Monsieur Cheickh Sadibou DIALLO Conseiller Spécial politique du Président de l’APR Administrateur de la DSE APR France

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 17:08
Alioune DIOP et  l'Imam de la Grande Mosquée de Lyon
Alioune DIOP et l'Imam de la Grande Mosquée de Lyon

Le Consul Général de la République du Sénégal Alioune DIOP a prié pour l'Aid Al Kabir ce Samedi 04/10/2014 à Lyon. Il a renouvelé ses prières de santé, de bonheur, de paix à l'ensemble de la communauté musulmane de Rhône-Alpes et Auvergne. Aussi il a tenu à remercier au nom du Chef de l'Etat Macky Sall le Recteur Keptane et l'Imam de la Grande Mosquée de Lyon qui lui ont réservé un accueil chaleureux.

Partager cet article
Repost0
16 août 2014 6 16 /08 /août /2014 07:21
Partager cet article
Repost0
7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 10:37
USA - Afrique 2014

RFI: Les chefs d’Etat et de gouvernement africains présents au sommet sont conscients de l’image souvent négative véhiculée par le continent. Une image qui n’est pas favorable aux investissements. Jakaya Kikwete, président de la Tanzanie, a blâmé la presse qui ne couvre « que les crises dans l’actualité du continent ». C’est de la faute des journalistes, mais ces derniers en ont l’habitude. Le président sénégalais, Macky Sall, et le tunisien Moncef Marzouki se sont, quant à eux un peu agacés de la méconnaissance de l’Afrique constatée chez leurs interlocuteurs américains du monde politique ou des affaires, rappelant que ce continent compte 54 pays, que chacun présente des caractéristiques très différentes. La crise actuelle en Libye ou l’épidémie de fièvre Ebola ne peuvent ternir l’image de tout un continent.

Partager cet article
Repost0
3 août 2014 7 03 /08 /août /2014 16:54
Opinion : le fameux procès de Karim Wade tant attendu et tant redouté par les libéraux, est enfin arrivé… (Son Excellence Cheickh Sadibou DIALLO)

«Tout ce qui grouille, grenouille et scribouille, n’a pas de conséquences historiques, dans ces grandes circonstances, pas plus que cela n’en eut jamais dans d’autres». Charles de Gaulle. Depuis l’incarcération de Mr Karim Wade, ancien Ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, ministre des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, ministre des Transports aériens, ministre des Infrastructures, ministre de l’Energie, sans précédent dans les annales politiques universels, les libéraux très agités n’ont eu cesse de fulminer qu’il n’y aurait pas de procès Karim. Pourquoi toute cette agitation s’ils n’ont rien à se reprocher ?

Mais la réalité de ce jour magique de l’ouverture du procès tant attendu, est à marquer d’une pierre blanche dans notre histoire politico-judiciaire. En extirpant définitivement de ses mœurs ses démons, que constituent le détournement des deniers publics et les scandales financiers, le Sénégal sera à la hauteur de cet évènement exceptionnel. C’est toute l’ordonnance de l’œuvre du Président Henri Grégoire Diop, homme pétri d’expérience et de ses assesseurs. Cette action judiciaire qui découle d’un long processus est l’aboutissement des opiniâtretés, inlassablement formulées par le peuple sénégalais, depuis son accession à l’indépendance. Toutes les ébauches, pour lutter contre ses démons précités des régimes qui se sont succédé à la tête du Sénégal de 1960 à nos jours, ont été vouées à l’échec. Sans vouloir émettre une culpabilité quelconque, de par le respect de cette présomption d’innocence, il me paraît important de rappeler aux Sénégalais que la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite, est née d’une loi du 10 juillet 1981, promulguée, pour la première fois au Sénégal, par le Président Abdou Diouf.

Cette loi avait pour visée de lutter contre l’argent facile et de condamner les démolisseurs de la République. Deux affaires avaient, à l’époque, pu être élucidées dans la douleur. Cependant, notre distingué ancien Chef d’Etat n’avait pas hésité à avouer publiquement sa désillusion, en ces termes : « Parce que je n’ai pas été suivi, la cohésion sociale a été trop forte, je me suis rendu compte que ceux que je pouvais accuser même de corruption, partageaient cet argent avec la famille et toutes les concessions, toutes les classes de gens qui, évidemment, se liguaient. C’est la période où j’ai eu la campagne de presse la plus dure contre moi, autour de la corruption (…) Alors qu’il y avait dans la loi des délits de corruption qu’on pouvait sanctionnés, que l’on ne sanctionne jamais ! Et comme je ne peux pas obtenir des aveux ni du corrupteur, ni du corrompu, je me suis basé sur les signes extérieurs de richesse. Il faut que la personne incriminée, puisse prouver comment elle a réussi à avoir cette voiture rutilante, comment elle a pu avoir toutes ces villas, compte tenu du niveau de son salaire… Mais j’ai subi un blocage total, de la part des magistrats et des policiers de l’époque, chargés de l’enquête. De grands Chefs religieux se sont même déplacés jusque chez moi, pour me demander de céder sur tel ou tel point…et ils sont repartis fâchés contre moi.

C’est pourquoi cette loi, sous mon magistère, est restée lettre morte ». Sans jamais été abrogée, la loi créée par Abdou Diouf a aussitôt été mise sous le boisseau par Abdoulaye Wade dès son accession au pouvoir. Etait-ce là, un avant-goût, nous alertant la genèse d’une gestion infernale des affaires de la cité ? La résultante ne nous a point disconvenues, de par les interminables branle-bas qui ont rythmé le régime du successeur du dauphin de Léopold Sédar Senghor. Malgré toutes les divagations faisant semblant de vouloir sanctionner les détournements de deniers publics et autres crimes économiques, l’ancien Président, au lieu de réactiver notamment la CREI, avait préféré jeter son dévolu sur d’autres structures : la CVCEP, Cour de vérification et de contrôle des établissements publics, l’IGE, l’Inspection Générale d’Etat, et le drastique régime de droit commun, qui s’applique à cette catégorie de transgressions. Méconnaître les limites de ces procédés juridiques et classiques pour sanctionner les responsables de telles concussions ou enrichissements illégaux, eu égard aux exemptions ou autres artifices dont peuvent jouir les personnages invoqués dans ces variétés d’affaires, est un jeu d’enfant. Trop souvent de simples corrélations, avec une kyrielle de recommandations sont posées sur la table du Chef de l’Etat, laissant à ce dernier la liberté suprême d’instruire des poursuites ou de classer. Alors que si le couple corrupteur-corrompu demeure muet, il est matériellement difficile voire impossible d’établir la caractérisation du délit. Pour clore ma réflexion, je tiens à exprimer mes vives félicitations à l’un de mes fervents compagnons de lutte, Touradou Sow, membre de l’Apr – Section Strasbourg, émérite juriste, pour sa contribution très appropriée, intitulée : «Le sens du procès de Karim et Cie». Pour rendre hommage à son analyse pertinente j’ai, en tant que doyen, le devoir d’appuyer sa profonde introspection, à travers laquelle il nous démontre sa maîtrise du droit, la logique, la dialectique et la rhétorique, riches d’enseignements : « Devant un tel arsenal, on pouvait croire que notre système juridique à tout pour vaincre le délit d’enrichissement illicite, Mais la prolifération des scandales financiers ou autres détournements de fonds ces dernières années, nous obligent à penser le contraire. A vrai dire, ce ne sont point les lois qui nous manquent, mais une véritable volonté politique de les appliquer, afin de donner un signal fort aux délinquants à col ou grands boubous blancs. La démarche des Présidents Abdou Diouf et Macky Sall, d’instituer une Cour spéciale capable de faire face aux limites de notre système judéo-social, doit être impérieusement comprise sous cet angle. La décision du Président Macky Sall de marcher sur les pas de l’actuel Secrétaire Général de la Francophonie, en faisant renaître la CREI, malgré la clameur stridente de certains hypocrites individus, est venue à son heure. Plus que jamais légale, sa conformité avec notre système de droit ainsi que son existence juridique ne font plus l’ombre d’un doute, depuis la décision du Conseil constitutionnel, sur la requête fantaisiste du l’ancien Président devant la Cour Suprême, aux fins de constater son inconstitutionnalité. Elle a été rejetée et le contrôle à priori de constitutionnalité n’est plus d’actualité, la loi étant promulguée ».

Pour l’honneur du Sénégal, la CREI, autant que jamais légale, va sereinement effectuer son travail et rendre son verdict, afin que toute la lumière soit enfin faite ! Tous les Sénégalais, j’en ai l’intime conviction, ont parfaitement confiance en la justice de leur pays.

Son Excellence Monsieur Cheickh Sadibou DIALLO Conseiller Spécial du Président de l’APR Administrateur de la DSE APR France

Partager cet article
Repost0
1 août 2014 5 01 /08 /août /2014 10:41

La Communauté sénégalaise élargie à la communauté musulmane de Lyon a perdu un pilier et charnière des générations en la personne d'Imam Diallo né en 1926. Imam DIALLO s'en est allé paisiblement ce 29 juillet 2014 à Lyon. A son fils Youssou DIALLO, à sa famille, au cercle musulman, mes sincères condoléances au nom du Président de la République et prie pour que la terre lui soit légère. Par ailleurs, je vous livre le témoignage de mon prédécesseur S.E.M Cheikh Sadibou DIALLO ancien Consul Général de Lyon:

Mes Chers compatriotes

Que la mort ait emporté, avec Limam Diallo, Vénérable Chef religieux de la communauté sénégalaise de Lyon, tant de valeur rayonnante, de dévouement désintéressé, de volonté inébranlable de ne servir que ses concitoyens, c’est pour moi un très grand chagrin qui se joint à celui qui vous frappe et qui frappe le peuple sénégalais. Son souffle s’est arrêté. C’est un grand froid qui nous saisit. Qu’il s’agisse de Dieu, ou de l’Homme ou du Sénégal, ou de leur œuvre commune que sont la pensée, l’action, son magnifique talent de persuasion savait, grâce à sa parole de sagesse, atteindre et remuer le fond des âmes, et cela d’une telle manière que nul ne reviendra jamais sur l’admiration ressentie.

Le Vénéré Limam Diallo était un homme d’exception parmi les hommes exceptionnels, dont la valeur morale ne fait que s’accroître. Que de fois j’ai admiré son énergie pour lutter, son intelligence pour prendre des initiatives heureuses, sa sincérité, sa retenue et son esprit de justice. Et en plus il était si attachant ! Puisse l’expression de mon affection émue vous montrer qu’un homme aussi valeureux sut se faire aimer en même temps qu’admirer.

Quant à moi, je lui voue une reconnaissance extrême pour m’avoir si souvent enchanté, pour être un des plus beaux fleurons de la couronne de notre pays, pour m’avoir honoré et aidé, dans mon exaltante mission consulaire, de son ardente adhésion, de sa généreuse amitié de son immuable fidélité. Ce concours m’aura été sans pris. Pourtant, je suis certain que la flamme qui l’animait ne saurait s’éteindre. Au moment où il disparaît que cette conviction soit, de ma part un témoignage à sa mémoire. C’est avec émotion que mon épouse joint ses sentiments au mien, en cette douloureuse épreuve. Qu’Allah, le Miséricordieux, l’accueille dans son paradis, et que la terre du Sénégal qui l’a vu naître lui soit très légère.

Amine

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Actionforyou
  • : Très tôt les Sénégalais et le monde artistique découvrent chez le chanteur Youssour un grand besoin d’entreprendre pour réaliser des projets adaptés à son environnement pour participer à l’effort de développement de l’Afrique et de ses partenaires. Il crée successivement des entreprises qui génèrent beaucoup d’emplois dans son pays et en dehors.
  • Contact

Recherche

Liens