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22 mai 2014 4 22 /05 /mai /2014 08:53

Le Festival International des Musiques Urbaines YAKAAR, initié par la structure Optimiste Produktions, sera fidèle à ses objectifs : un lieu de rencontre entre professionnels du milieu, un plateau d'excellence et multiculturel de plus en plus ouvert à tous les genres musicaux, et une grande opportunité pour les jeunes talents. Il se tiendra cette année du 28 au 31 Mai à Pikine, Rufisque et Dakar.

Ismaël Lô
Avec son harmonica et sa guitare, Ismaël Lô a donné au trépidant mbalax sénégalais un tempo plus aérien, un son plus mélodique, proche parfois du rhythm'n'blues. On ne présente plus l'immense artiste et personnage attachant, qui a parcouru le monde avec notamment son tube "Tajabone" à l'origine de son succès auprès du grand public.

K-mal
K-mal est co-auteur de plusieurs initiatives regroupant de jeunes béninois autour du slam à l'Institut français de Cotonou et dans d'autres lieux publics du Bénin, qui permettent aux jeunes d'avoir un espace pour s'exprimer librement et au public de recevoir les déclamations en live.

Jean Jean Roosevelt
Originaire de la Grand-Anse au sud-ouest d'Haïti, Jean Jean Roosevelt est un artiste né. Lauréat des jeux de la Francophonie 2013, sa musique se nourrit des influences multiethniques de son île. C'est une alliance de rythmes créoles et d'influences reggae, rhythm'n'blues et afro beat.

Théâtre de verdure à Dakar
Adresse : 89 rue Joseph Gomis, Dakar 15700, DAKAR, Sénégal
tel. 33 823 03 20

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 11:16
Pour Macky Sall, un ami m'a écrit.

REALISATIONS ET ENGAGEMENTS TENUS EN 2 ANS SEULEMENT PAR MACKY SALL.

1-Assainissement de la fonction publique « 11000 fraudeurs débusqués »

2-traque des biens mal acquis

3-création effectives de plus de 15000 emplois

4-Restauration des piliers fondamentaux de l’ Etat

5-Reforme positive du code électoral

6-Reforme progressiste du code de la nationalité

7-Parité intégrale

8-Restauration du civisme et des bonnes pratiques

9-toilettage du code des investissements

10-facilitation et simplification des démarches et procédures administratives pour le secteur privé « APIX »

11-Payement de la dette intérieure ( 57 milliards /mois) malgré un très lourd passif hérité

12-Réduction drastique des charges et du train de vie de l Etat

13-Réduction du cout des loyers

14-Réduction des prix pour les denrées de premières nécessités

15-Majoration substantielle des salaires

16-Amélioration des conditions de vie des personnes retraitées

17-Mise en place progressive de la couverture maladie universelle (CMU)

18-Augmentation du prix aux producteurs d'arachide

19-payement de l'ensemble des bons aux producteurs

20-Réduction très significative des coupures d électricité

21-payement des salaires à temps aux agents de la fonction publique malgré le très lourd passif hérité

22-Payement des échéances et du service de la dette extérieure à temps

23-gestion vertueuse et transparente des deniers publics

24-Rééquilibrage des agrégats macro économiques

25-diplomatie performent et respectée

26-Poursuite et parachèvement des travaux engagés par l ancien régime malgré la situation catastrophique héritée

27-Réduction significative de la facture énergétique de l Etat

28-Bourses familiales

29-Mise en place d'une commission chargée de la rédaction de l'HISTOIRE DU SENEGAL

30-Endiguement des problèmes de l inondation dans Dakar et quelques autres localités

31-Couverture vaccinale réussie du cheptel

32-Renforcement de la sécurité nationale

33-Equipement des forces de sécurité et de maintien d ordre

34-Protection de la production agricole nationale (oignon et sucre)

35-Réalisation de 2000 logements sociaux

36-gratuité des soins pour les enfants de 0- 5 ans

37-Intégration progressive des arabisants dans la fonction publique et de la diplomatie

38-BAC arabe pour la première fois au Sénégal

39-Gratuité et régionalisation de l hémodialyse

40-Augmentation de la capacité du PAD avec le dragage du Channel

41-assainissement du secteur minier

42-assainissement du secteur de la pèche

43-assainissement des sociétés publiques

44-Réduction des agences budgétivores de l Etat

45-modernisation des dahras

46-Mise en place du fongip

47-Mise en place du fonsis

48-dynamisation de la BNDE

49-Amélioration du trafic maritime Dakar- Ziguinchor

50-HAUTE COUR DE JUSTICE

51-OFNAC

52-Dématérialisation du permis de construire afin de raccourcir les délais

53-Fond pour la diaspora

54-Réfection du stade Aline Soutoe Diatta

55-Gratuité de la césarienne

56-indemnisation intégrale des militaires morts et blessés et mutulés

57-1000 tracteurs brésiliens déjà en débarquement au PAD

58-Départementalisation intégrale du Sénégal avec la création de pôles économiques de développement ( acte 3 )

59-Démarrage intensive de l électrification rurale

60-Mise en place de Brises Lames pour sauvegarder nos cotes maritimes

61-disponibilité, dés le mois d avril des engrais et intrants pour le monde rural( une première depuis plus de 20 ans

62-suppression du sénat budgétivore

63-Priorité aux artisans locaux pour les commandes publiques

64-réforme des institutions

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 14:09
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23 avril 2014 3 23 /04 /avril /2014 19:01

teranga-gregivaudan.PNGL'association TERANGA GREGIVAUDAN et son Président Marcel Coly dans la région Rhone-Alpes ont construit un Lycée Technique Agricole doté d'une infrastructure solaire, d'un parc informatique et mis en place du système biogaz. Ce projet de très haute facture est un exemple de développement de proximité que nous attendions des sénégalais de l'extéreur.

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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 21:20

Nous ne sommes pas surpris, et personne ne l’est d’ailleurs quant à votre dernière mise en scène. Et même si nous l’étions monsieur SECK, vous avez révélé encore une fois votre aptitude à vociférer des méchancetés à l’endroit du président Macky Sall que le peuple sénégalais a choisi en vous disqualifiant dès le premier tour des élections de 2012.

Vous avez révélé en plus votre nature pitoyable à accepter difficilement la volonté divine et celle émise par le peuple sénégalais le 25 Mars 2012.

Idrissa le tortueux, Idrissa le populiste ; que ne feriez-vous pas pour être un jour président de tous les sénégalais ? Ce rêve que vous avez toujours nourri : « Born to be a president », « IDY 4 President » tarde à se réaliser.

Votre aigreur et votre mélancolie ont fait de vous un haineux au point de prendre les dignes fils de ce pays pour des demeurés sous l’emprise d’une amnésie totale.

Comment confier la tête de notre cher Sénégal à quelqu’un qui n’est même pas capable de gérer lui-même une mairie ?

Quelqu’un qui s’est comporté en criminel économique avec nos deniers publics et qui de surcroit nous nargue depuis des années.

Acteur habile est inégalable dans ce grand théâtre de la politique pour les nuls, monsieur SECK assimile et excelle dans son rôle de tartuffe dans la scène politique sénégalaise.

Jamais vous ne ratez l’occasion de nous faire oublier le préjudice financier que vous nous avez fait subir. Ce butin digne d’Ali Baba et les quarante voleurs vous permet aujourd’hui de voyager tout frais payer par l’argent du contribuable, de dignes fils de ce pays.

Votre conscience n’est pas tranquille et ne saurait l’être, je le sais et vous le savez, même si vous faites abstraction de votre état d’esprit : les faits sont têtus.

Non Monsieur Seck, votre seule et unique maladie n’est pas le quotidien des Sénégalais mais le vôtre. Votre état psychologique hanté partout et tout le temps par cet acte ignoble, cette forfaiture qui vous a valu un séjour carcéral et que votre non-lieu ne peut effacer dans la conscience des Sénégalais.

Oui votre retour est souhaité par vous-même et vos acolytes et répond à une stratégie d’être au pays avant Maître WADE pour ne pas se faire oublier. Bien vu mais les Sénégalais vous voient tous les deux comme les marionnettes d’un cirque qui a connu son épilogue le 25 Mars 2012.

Retrouvaille pour retrouvaille, ce sera du déjà vécu avec vous deux mais la vérité triomphe toujours. Le simulacre de vérité auquel vous voulez nous faire adhérez sera vain.

Nous vous invitons au travail pour vous faire pardonnez par ce vaillant peuple sénégalais à qui vous devez votre existence actuelle inespérée.

 

IBRAHIMA MBODJI

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30 janvier 2014 4 30 /01 /janvier /2014 16:18

chasseley.jpgLe tata de Chasselay, officiellement nécropole nationale de Chasselay, est une nécropole militaire située à Chasselay dans le Rhône, où sont enterrés 194 tirailleurs originaires de différents pays d'Afrique de l'Ouest, ainsi que deux légionnaires, tous massacrés par la division de SS allemande Totenkopf (« tête de mort ») en juin 1940. Cette nécropole a été construite selon le style d'architecture de l'Afrique de l'Ouest, où tata signifie « enceinte de terre sacrée » en wolof, dans laquelle on enterre les guerriers morts au combat.

Du 19 au 20 juin 1940, à Chasselay, les troupes coloniales sénégalaises de l'armée française, à 1 contre 100, retardent l'entrée des troupes allemandes dans Lyon, déclarée « ville ouverte » le 18 juin.

Non prévenue par l'armée, la défense s'organise, le 17 juin, à Chasselay, village situé à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Lyon. Des barricades sont dressées, grâce aux soldats du 405e RADCA de Sathonay, du 25e régiment de tirailleurs sénégalais, de légionnaires (2 d'entre eux reposent dans le tata) et aussi avec l'aide de civils.

N'ayant rencontré que très peu de résistance depuis Dijon, les Allemands arrivent le 19 juin, près du couvent de Montluzin à Lissieu. De durs et violents combats entre troupes allemandes et françaises se soldent par 51 morts dont une civile du côté français, et plus de 40 blessés pour les Allemands.

Le 20 juin, à l'issue d'une deuxième bataille, au château du Plantin, les prisonniers, au nombre d'environ 70, sont divisés en deux groupes, d'un côté les soldats français blancs et de l'autre les Sénégalais noirs.

Après avoir parcouru deux kilomètres à pied, les soldats français couchés dans l'herbe, le long d'un pré, assistent au massacre des soldats sénégalais par des mitrailleuses et pour certains écrasés par les chars d'assaut de la 3e

Panzerdivision SS Totenkopf[2]. Le capitaine Gouzy tente de s'interposer pour protéger ses hommes et reçoit une balle allemande dans le genou. Les Français blancs sont emprisonnés à Lyon. Les habitants de Chasselay, horrifiés par le massacre, enterrent les corps des Sénégalais dans un cimetière. Le tata est inauguré le 8 novembre 1942[3] en présence de son fondateur M. Jean Marchiani, secrétaire général de l'Office départemental des mutilés, combattants, victimes de la guerre et pupilles de la Nation.

Extrait de WIKIPEDIA

Tous les ans, se tient à Chasselay une cérémonie officielle, où sont présents des représentants sénégalais et français.

 

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 18:51
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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:32
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22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 15:52

20130822_121528-copie-1.jpg

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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 17:15

cheikhL’écriture elle-même, qui est la parure du journalisme m’a, durant la première année du quinquennat, semblé avoir cessé d’afficher ses limites, dès le premier coup d’œil. Insipide, sans allant, inapte à se jouer des difficultés elle a, d’une certaine manière, « renoncé » à sa mission première d’informer, de séduire et de convaincre. Il est donc pressant de remettre l’accent sur les compétences professionnelles et le courage des journalistes, impavides et déterminés dans l’évidence de leur condition, éclatants de talent, si l’on ne veut pas voir la presse encourir la défaveur des masses, qui la consultent souvent comme un oracle.

 

Avant de poursuivre ma réflexion, il y a lieu de rappeler à nos concitoyens les actes majeurs posés, vis-à-vis de la presse, par tous les Présidents qui se sont succédé à la tête de l’Etat depuis 1960, pour la consolidation de la démocratie au Sénégal : une vingtaine de quotidiens, 15 hebdomadaires, 18 mensuels, 5 chaînes de télévisions, près de 200 radios régionales et communautaires. Notre pays s’est doté d’un Code de la presse, le plus révolutionnaire et le plus avancé d’Afrique, qui dépénalise le délit de presse : de l’avis des professionnels de l’information et de la communication des Syndicats de journalistes. C’est un code consensuel élaboré, après six mois de concertation et, unanimement, voté à l’époque par les députés et les sénateurs.

En conséquence, c’est à la gloire des journalistes, ces conquérants modernes qui maîtrisent si bien toutes les données de la technologie régnante, ces relais qui doivent informer l’opinion publique de ce qui marche et de ce qui ne marche pas à la Une de leurs journaux, de porter le débat d’idées sur la place publique et de ne pas se contenter des valeurs inopérantes. Qu’elle soit publique ou privée, la presse se doit de jouer son rôle d’informatrice intelligente et non se contenter d’un sujet qu’elle distille, à satiété, sur la place publique, jusqu’à en faire une overdose : la traque obsédante des biens mal acquis.

Abondant dans le sens de la réflexion appropriée du Conseiller spécial et porte-parole du Président de la République, M. Abdou Abel Thiam, dans l’interview qu’il a accordée à un confrère du Sud Quotidien, relative à la mise sous boisseau de la presse aux réalisations accomplies par le nouveau régime : « A qui la faute ? On n’a qu’à faire un sondage des UNE de la presse nationale au cours de l’année qui vient de s’écouler, pour voir quels sont les thèmes qui vous intéressent le mieux. Vous préférez le feuilleton de la traque des biens mal acquis aux performances du gouvernement. Je suis journaliste comme vous. La presse préfère les trains qui n’arrivent pas à l’heure. C’est comme ça. Le train qui arrive à l’heure, c’est une bonne gestion de la campagne agricole, une bonne prise en main de la distribution de l’énergie, malgré les couacs constatés ces derniers jours. A mon humble avis, la presse ne parle pas, suffisamment, de cette avancée majeure qui a consisté à réduire les impôts sur le revenu et, de facto, accroître les salaires des travailleurs.

Certes, il est maintenant trop facile de clamer que le Gouvernement ne communique pas. Tous les gouvernants du monde, quelques soient leurs réalisations, entendront toujours ce refrain. Oui, tout se passe pour le meilleur des mondes, le seul problème, c’est la communication. C’est facile, c’est plus prudent et cela a l’avantage de titiller l’égo de l’interlocuteur, mais cela cache toujours des arrière-pensées. Le Soleil, la RTS, l’Aps, n’ont pas vocation à être des versions tropicales de la « Pravda », pour chanter à longueur de journées, les louanges du Gouvernement. Les réalisations sont là. Elles sont connues de tout le monde, mais elles sont voilées par l’approche du traitement de l’information par la presse, qui préfère parler de lutte, de traque de biens mal acquis, ou mettre des faits divers à le UNE, plutôt que de parler des réalisations concrètes du Gouvernement ».

C’est la gloire des journalistes pétris de leur métier, de monter la garde au sommet de nos Républiques et d’obliger, quand il le faut, le premier de cordée à redescendre dans la vallée. Ils ont embrassé le plus beau des métiers, celui d’informer le citoyen et de lui fournir des instruments précieux de jugement, de lui faire connaître et comprendre la complexité des problèmes posés à la société où il vit, de l’aider à réfléchir sur son destin, ce qui est, tout simplement, la plus belle manière de servir la démocratie.

Aimé Césaire, le « poète vivant » et chantre de la négritude, dont on célèbre aujourd’hui en Martinique le centenaire de sa naissance, affirmait avec force conviction : « Une vie d’homme, c’est le combat entre l’espoir et le désespoir, entre la lucidité et la ferveur ». Les colonnes de ces vaillants combattants pour la liberté d’expression, constituent déjà un contre-pouvoir crédible et respecté, que nous appelons de nos vœux et dont toute autorité, dans un pays en état de droit, un tant soit peu intelligente, a besoin pour vivre, sauf à courir le risque de se briser sur un écueil qu’elle n’a pas vu ou voulu voir. Car, au-delà de l’incantation rituelle, il y a un pays à reconstruire et à maintenir dans la dignité. Nous savons, indubitablement, que la presse n’est pas là pour arranger les choses, arrondir les angles, calmer le jeu. Elle tire même sa renommée du fait qu’on la trouve à la fois indispensable et convenablement insupportable.

Lorsque j’observe comme la presse sénégalaise, après cinquante-trois années d’existence, pêche par conformisme, je suis tenté de me ranger du côté de Balzac qui affirme que «si la liberté de la presse n’existait pas, il ne faudrait surtout pas l’inventer». Cette presse nationale pertinente depuis le tournant des années glorieuses, qui a toujours été à l’avant-garde de toutes les libertés, parce qu’exerçant la plus belle des professions, celui d’éclairer le citoyen en lui rétrocédant des outils inestimables de décision, se trouve être bougrement confrontée à des « prérogatives commerciales ».

On peut le comprendre, mais on peut bien aussi le déplorer !

 

Son Excellence Monsieur Cheikh Sadibou DIALLO

Conseiller Special du Président de l'APR

Administrateur de la DES France

 

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