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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 13:38

  

La Direction de la sécurité du territoire (DST), démembrement de la police sénégalaise, serait présentement à l’imprimerie du Groupe Com 7, propriété de l’entrepreneur Bara Tall, pour saisir du matériel et une pétition contre le fils du chef de l'Etat qui était sous impression. La pétition aurait été lancée par l’entrepreneur, pour interpeller Karim Wade sur la provenance de ses milliards. Une initiative bloquée de l’imprimerie sur instruction du palais de la République, indiquent des sources concordantes.

 

Bara Tall avait, le mois dernier, annoncé le lancement d'une pétition pour exiger des explications sur une affaire de commissions de 20 milliards de francs Cfa, concernant l'attribution d'une licence de télécommunications à l'opérateur Sudatel.
 SENEWEB-NEWS, qui suit l’évolution de cette affaire de très près, reviendra plus en détail sur cette affaire, une étape nouvelle dans le combat que mène Bara Tall contre le régime en place.

 

Auteur: SENEWEB-NEWS

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 11:19
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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 11:02

 

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 08:01

XIBAR.NET (Dakar, 04 Juin 2010) - Le président Wade a, encore, séjourné près d’une semaine en France. Il s’y était, officiellement, rendu pour les besoins du sommet France-Afrique, qui a eu lieu du 31 mai dernier au 1er juin courant. Mais, ce voyage n’a fait que perdre au Sénégal et ternir davantage l’image de son président, qui a été, pour la première fois, le moins visible et bruyant.

 

Le président Wade a séjourné en France pendant près d’une semaine avec sept de ses ministres, dont son fils Karim. Il avait transporté ses troupes et fait venir d’autres Sénégalais des différentes régions de la France et d’autres pays européens. C’est donc une lapalissade que de dire que l’argent du contribuable sénégalais a été encore dilapidé. Hélas, pour rien. Car le président Wade qui projetait de tenir un meeting à Paris, à la place de la République, pour s’en prendre au chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner et, surtout, André Parant, n’aura pas cet honneur. Il a été dissuadé par « l’ami » de son fils, Claude Guéant, secrétaire général de l’Élysée. Wade reproche aux deux premiers nommés d’avoir minimisé le rôle qu’il a joué dans la libération de la Française Clotilde Reiss, qui était détenue en Iran.

Il n’a pas tenu son meeting à Paris et a été royalement ignoré à Nice, où se tenait le sommet, par ses pairs. Car, si de Mitterrand à Jacques Chirac, c’est le doyen des chefs d’États qui prononçait un discours au nom de ses pairs africains, ce ne fut pas le cas lors du récent sommet France-Afrique. Ceci, parce que Abdoulaye Wade est le plus âgé de tous, pour avoir 85 ans. Il a été snobé , parce que développant une politique belliciste avec l’Occident et la plupart des dirigeants africains. Sa gabegie financière est connue de tous, tout comme ses projets monarchiques. Ce sont pour toutes ces raisons que la France, en accord avec la majorité des 38 présidents présents à Nice avaient décidé d’enfreindre la tradition. On ne met pas en selle des contre-valeurs pour créer de nouvelles et saines relations, avaient-ils convenu. Ainsi le président le plus diplômé du Caire au Cap n’a signé le document sur l’Environnement, comme il l’a avoué devant la télévision nationale, que malgré lui. Pourtant il est le chantre de la Muraille verte.

 

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 09:02

 

 

Auteur:
Xibar.net 

Le président est de tous ses pairs africains ayant participé au sommet France-Afrique celui qui a déplacé le plus de ministres. La rationalité n’est pas son fort. Il ne se soucie pas de l’argent qu’il dilapide, parce que n’étant pas le sien.


Me Wade a participé au sommet France-Afrique, qui s’est tenu à Nice. Il y a été précédé par son fils et non moins ministre d’État. Comme à chaque fois, Karim a voyagé seul avec son staff, parce que les Wade ne voyagent pas ensemble. Ils avancent des raisons de sécurité.

Le ministre de l’Économie et des Finances a voyagé avec le président Wade, tout comme le chef de la diplomatie sénégalaise, Me Madické Niang. Samuel Sarr de l’Énergie a aussi fait le voyage. Dans la délégation du président Wade, il y avait la ministre et non moins directrice de l’Apix, Aminata Niane, et les ministres conseillers Awa Ndiaye et Moustapha Sourang. Du beau monde en somme, qui a coûté au contribuable sénégalais. Car, Wade avait, également, autour de lui sa cour. On se rappelle qu’à l’occasion de son récent voyage qui l’avait conduit en Iran, avant qu’il ne poursuive son périple en Malaisie, en Italie et en France, son fils l’avait rejoint à Téhéran en jet privé, où il était avec Me Madické Niang. C’est également un avion spécial qu’il avait fait affrété pour aller récupérer la styliste Mame Faguèye à Lomé. Pourtant, il avait dépensé 35 milliards du contribuable sénégalais, pour faire réparer l’avion présidentiel, qu’il n’utilise plus. Le président est superstitieux. Il est évident que si les institutions de Bretten Woods quantifient le coût de ses déplacements de cette année, elles trouveront plus que les 12,5 milliards qu’elles avaient révélés.

Outre les frais de location d’avions, de restauration et d’hébergement du président Wade et sa délégation, le contribuable paye à chacun de ses voyages des millions pour l’entretien de ses militants, sans compter les primes versés à ses accompagnants. Les présidents français et américain ne se déplacent pas avec autant de monde que Abdoulaye Wade. Ce serait soulever l’ire de leurs compatriotes. Mais Wade ne se gêne pas lui d’abuser de l’argent de son peuple,qui manque de tout.

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 13:36

Un mouvement né aux Etats-Unis, dénommé « Jög-Jotna », ou l’heure du réveil a sonné,  entend organiser une journée internationale contre la corruption et l'impunité au Sénégal.  Des manifestations synchronisées pourraient ainsi être organisées au Sénégal, en France, Italie, Espagne, Belgique, Washington, New York et Montréal.  "Doyna sekk" (ça suffit),  tel est le slogan  brandi par les membres de Jog-Jotna, qui entendent mettre un terme aux phénomènes de corruption et d'impunité notés ces dernières années au Sénégal.
Ce mouvement citoyen pointe un doigt accusateur sur Wade et son régime. Le coordonateur de  Jög-Jotna aux Etats-Unis, Elimane Mbengue,  a lancé un appel à tous les citoyens pour s'ériger en un seul homme et faire face au pouvoir libéral. « Si Wade fait ce qu'il fait en toute impunité, ce n'est pas parce qu'il est puissant, mais, c'est plutôt parce que nous avons accepté d'être divisés par des considérations bien moins importantes que la mission que chacun de nous s’est assignée », clame M. Mbengue.

 

Auteur:
Senewebnews    

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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 16:04

 

 Le 11 mai, le ministre de la Communication, Moustapha Guirassy, et Youssou N’Dour, propriétaire de Futurs Médias (son groupe de presse, qui compte le premier quotidien et la première radio privée du pays), ont signé la convention autorisant Télé Futurs Médias (TFM, dernière-née du groupe) à émettre. C’est l’épilogue d’un bras de fer qui opposait Abdoulaye Wade au chanteur et qui remonte à plusieurs mois.

 

 

Auteur:
Jeune Afrique   

Début 2009, Youssou N’Dour, qui vient de finir les installations de sa nouvelle télé, se heurte au refus de Wade de lui délivrer le permis de diffuser. Le chef de l’État lui reproche d’avoir une licence pour une télévision culturelle et de vouloir faire fonctionner une télévision généraliste. Une rencontre entre les deux hommes, en août 2009, se passe très mal. Le chef de l’État lance à son interlocuteur?: « Même si Dieu descend, TFM ne diffusera pas. » Et s’entend répondre?: « Vous n’êtes pas Dieu. »

Puis les positions se radicalisent. Pour riposter à ce qu’il perçoit comme une injustice, le chanteur multiplie les sorties publiques contre le régime, crée un mouvement citoyen pour le combattre et use de sa célébrité pour faire circuler une pétition qui recueille 1,7 million de signatures.

Le 1er mai, Wade déclare que TFM est financée par un homme d’affaires français qui veut le combattre pour avoir perdu des marchés au Sénégal. Démenti du groupe Futurs Médias. Puis, le 10 mai, après une médiation entreprise par le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, Wade, en présence de son fils, le ministre d’État Karim Wade, reçoit Youssou N’Dour. Copies de chèques à l’appui, le chanteur prouve qu’il a lui-même financé sa télé. Et ajoute?: « Du fait de l’implication de mon mouvement dans la future présidentielle, TFM restera culturelle, pour devenir généraliste au lendemain du scrutin. Je suis honnête et ne veux aucun mélange des genres. » Wade accepte le deal. L’incident est clos.

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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 10:55

Le président Wade s’apprête à mettre en place son dernier gouvernement, qui va l’accompagner pour la fin de son second mandat. Si bien des observateurs sont convaincus de son limogeage, le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye opte pour la résignation. Jamais, il ne se révoltera contre le président Wade et prendra tout ce que celui-ci lui offrira.

« Je n’ai pas la même trajectoire que Gadio ». Les mots sont du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. C’était à l’occasion d’un entretien publié dans la dernière édition de Nouvel Horizon. Il parle de l’ancien ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, qui a pris le « maquis contre le président Abdoulaye Wade, après l’avoir servi pendant neuf longues années. Autrement, lui Souleymane Ndéné, même limogé au bout d’un an et d’un mois passé à la tête de la Primature, ne se révoltera point. Car, il est « un militant libéral de la première heure ». Il s’y ajoute qu’il n’est pas « le genre de personne qui claque la porte, parce qu’on l’a enlevé d’un poste ». Autrement, il est prêt à redevenir ministre dans le gouvernement qu’il a dirigé ou même Pca.

Est-ce parce que Souleymane Ndéné Ndiaye ne voit pas son avenir ailleurs que sous l’ombre du président Wade ? On peut le penser, d’autant que l’actuel Premier ministre ne connaît rien de l’état des négociations entre la France et le Sénégal au sujet du retrait des troupes du pays de Marianne des bases du Cap-vert. C’est également le cas pour ce qui est de la coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des transports aériens et des infrastructures, qui sont des chasses gardées du fils du président de la République, Karim Wade. Il avait juré de ne « jamais » se « ranger derrière ce gosse ».

Il a fini par abdiquer, pour rester à la tête du Gouvernement. Marginalisé par celui-ci, il remplit son temps à se rendre dans des manifestations mondaines et religieuses, s’il n’est pas au stade, pour un match de football, si ce n’est pour assister à un combat de lutte avec frappe. Souleymane Ndéné Ndiaye s’est résigné à tout avaler. Que des partisans de Karim le critiquent ou que le numéro 2 du Pds, Farba Senghor, l’attaque, il ne démissionnera pas pour autant du gouvernement. Pourtant il revendique une certaine noblesse.

 

Auteur:
Xibar.net

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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 10:49
 

Revue de Presse Quotidienne
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Avec Ahmed Aidara
La revue de la Presse quotidienne
Revue de presse Ahmed Aidara 31 mai 2010
Source: Seneweb Radio
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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 10:34

 

Le bureau politique de l'AFP a publié une délcaration face aux sorties politiques de Wade contre des partenaires extérieurs, dans l'affaire Reiss et dans celui de l'ambassadrice. Nous publions l'intégralité de la déclaration.

Depuis quelques jours, l’opinion publique sénégalaise exprime son émotion et ses préoccupations devant la gestion que le chef de l’Etat fait, de plus en plus souvent, des relations existant entre notre pays et ses partenaires extérieurs.

La défense des intérêts du Sénégal est une donnée constante tout autant qu’un devoir dans la manière de conduire les destinées d’un pays, dans l’honneur et dans la dignité. Tous les dirigeants du monde sont soumis à cette règle, dont il découle des pratiques, des modalités et des procédures inscrites dans un code de conduite international dont les fondements figurent dans la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques qui engage, dans ses dispositions pertinentes, l’ensemble des Etats qui constituent la communauté internationale.

Sous ce regard, le respect d’autrui commence toujours par le respect de soi-même, tant il est vrai que dans un domaine aussi sensible que la diplomatie les devoirs des uns protègent les droits des autres et inversement, dans un dialogue fécond et mutuellement utile, dans la courtoisie, le respect des règles de bienséance et un humanisme de tous les instants reposant sur les vertus de générosité et de rigueur dans les relations humaines.

Pour le Bureau politique de l’AFP, il ne s’agit pas de vouloir donner des leçons à qui que ce soit dans ce domaine particulièrement singulier. Cependant, il est du devoir des Sénégalais de rappeler, dans le calme et dans la sérénité que la diplomatie ne devrait pas se conjuguer avec la violence. Elle est plutôt consubstantielle d’un échange de raison nourri de convivialité et d’intérêts réciproques. Ces intérêts sont compris, promus, défendus et préservés pour le bénéfice de chaque nation, dans un environnement d’interdépendance que l’avènement de l’ère de la mondialisation vient confirmer dans toutes ses dimensions.

La multiplication récente d’incidents diplomatiques, bruyants, inutiles et couteux, survenant à intervalles réguliers, dans nos rapports avec des partenaires au développement, n’apporte rien de décisif à notre pays, dans son évolution et dans son progrès. Bien au contraire, des situations de cette nature portent préjudice, à des degrés divers, à l’image de stabilité et de responsabilité qui était naguère reconnue à notre pays.

 

Il est évident que chaque nation membre de la communauté internationale a ses intérêts propres, ses priorités, ses ambitions et ses projets. Ces réalités et exigences n’ont de valeurs intrinsèques que lorsqu’on les situe, au nom du principe d’interdépendance et de souveraineté, dans un esprit de coopération pacifique avec les autres nations, dans le cadre d’une compréhension mutuelle sous-tendue par la reconnaissance des obligations et des droits de chacun..

A peine la clameur provoquée par l’affaire Clotilde Reiss a-t-elle commencé de s’apaiser, voilà que Me Abdoulaye Wade, pour la première fois dans les annales diplomatiques du Sénégal, convoque la presse, y compris la Télévision nationale, et soumet l’Ambassadeur d’un pays partenaire à un exercice médiatique incongru.

Est-ce là la meilleure manière de faire connaitre à un pays partenaire le malaise créé par la publication, par voie de presse, d’une lettre contenant des constats et des recommandations portant sur les règles de bonne gouvernance et de bonne gestion du bien public ? L’usage donne la possibilité au pays qui s’estime lésé d’appeler son Ambassadeur en consultation, selon la formule consacrée, en guise de réaction ; dans un premier temps. A la suite de quoi, des procédures sont prévues dans la pratique diplomatique et peuvent être mises en œuvre, graduellement en fonction de l’évolution du contentieux considéré. Dans tous les cas de figure, il existe, des limites à ne pas dépasser, dans ce domaine.

Au surplus, et dans cette affaire, déclarer que le Sénégal est prêt à renoncer aux financements programmés dans le cadre du MCA, ne saurait relever de la compétence exclusive du chef de l’Etat, lequel a l’obligation de consulter les institutions supposées représenter le peuple.

Dans tous les cas, le Sénégal ne peut se développer aussi longtemps que les principes de transparence et de bonne gouvernance ne permettront pas de conduire une lutte efficace contre la corruption, le gaspillage des deniers publics et un train de vie dispendieux de l’Etat.

En tout état de cause, le Bureau politique de l’AFP tient à souligner, pour l’histoire, qu’aucun Sénégalais ne doit ni ne saurait accepter que l’honneur et la dignité de notre pays soient bafoués ni ses intérêts légitimes mis en cause. Mais la diplomatie a ses règles intangibles et le chef de l’Etat doit apprendre à se tenir et à se retenir.

 

Fait à Dakar, le 31 mai 2010

Le Bureau politique de l’AFP

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  • : Très tôt les Sénégalais et le monde artistique découvrent chez le chanteur Youssour un grand besoin d’entreprendre pour réaliser des projets adaptés à son environnement pour participer à l’effort de développement de l’Afrique et de ses partenaires. Il crée successivement des entreprises qui génèrent beaucoup d’emplois dans son pays et en dehors.
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