Ce 15 août est la date fatidique pour Sénélec et Samuel Sarr. Au delà des délestages, une crise entre Samuel et des membres éminents du régime s'est installée avec en toile de fond une bataille des tranchées entre Samuel Sarr et son désormais ex-ami, Karim Wade qui a juré sur tous les dieux qu'il "aura la tête de Samuel". L'intéressé, lui, selon ses proches est prêt à partir et attend le retour du président de la République pour sans doute présenter sa démission. "il est prêt à partir", indique un de ses proches. La rébellion de Samuel Sarr est arrivée à un point qu'il ne parle plus à personne dans le gouvernement sinon à Madické Niang ou encore Cheikh Tidiane Sy qu'il considère comme un père. "Samuel a découvert avec la crise de l'énergie que des personnes qui le sollicitaient par le passé manoeuvraient contre sa personne", indique la même source. Les heures à venir seront cruciales pour Samuel qui "partira sans doute avec le directeur général de Sénélec"